la police contacte un « profiler » hollandais
LIESTAL - La police, toujours en quête d’indice pour identifier le sadique qui mutile des animaux dans le Nord-Ouest de la Suisse, diversifie ses méthodes. Elle a contacté un « profiler » hollandais, selon une information parue dans le « Blick ». Ce spécialiste apporte un nouvel espoir aux enquêteurs mobilisés pour résoudre cette affaire, a indiqué Meinrad Stöcklin, porte-parole de la police cantonale de Bâle-Campagne. Il confirmait une information parue vendredi dans le « Blick ». Depuis mai, 46 cas supposés de mutilations d’animaux ont été enregistrés dans les cantons de Bâle-Campagne (24 cas), Soleure (10) et Argovie (12). Dans 18 cas, les enquêteurs sont certains que les mutilations sont l’oeuvre d’un sadique. En contactant le profiler hollandais, la police veut mettre toutes les chances de son côté pour arrêter le sadique présumé. Le spécialiste hollandais a déjà permis de mettre la main sur un sadique similaire dans son pays. Il avait établi son profil sur la base de plusieurs facteurs, dont des témoignages. Le sadique qui avait pu être arrêté avait ensuite avoué un meurtre. Dans le Nord-Ouest de la Suisse, les policiers sont persuadés qu’il n’y a pas qu’un sadique, mais plusieurs. En revanche, à Neuchâtel et à Zurich, la thèse du sadique est remise en cause par plusieurs autopsies, qui ont montré que dans tous les cas, un animal carnivore est l’auteur des mutilations intervenues après la mort.
LIESTAL - La police, toujours en quête d’indice pour identifier le sadique qui mutile des animaux dans le Nord-Ouest de la Suisse, diversifie ses méthodes. Elle a contacté un « profiler » hollandais, selon une information parue dans le « Blick ». Ce spécialiste apporte un nouvel espoir aux enquêteurs mobilisés pour résoudre cette affaire, a indiqué Meinrad Stöcklin, porte-parole de la police cantonale de Bâle-Campagne. Il confirmait une information parue vendredi dans le « Blick ». Depuis mai, 46 cas supposés de mutilations d’animaux ont été enregistrés dans les cantons de Bâle-Campagne (24 cas), Soleure (10) et Argovie (12). Dans 18 cas, les enquêteurs sont certains que les mutilations sont l’oeuvre d’un sadique. En contactant le profiler hollandais, la police veut mettre toutes les chances de son côté pour arrêter le sadique présumé. Le spécialiste hollandais a déjà permis de mettre la main sur un sadique similaire dans son pays. Il avait établi son profil sur la base de plusieurs facteurs, dont des témoignages. Le sadique qui avait pu être arrêté avait ensuite avoué un meurtre. Dans le Nord-Ouest de la Suisse, les policiers sont persuadés qu’il n’y a pas qu’un sadique, mais plusieurs. En revanche, à Neuchâtel et à Zurich, la thèse du sadique est remise en cause par plusieurs autopsies, qui ont montré que dans tous les cas, un animal carnivore est l’auteur des mutilations intervenues après la mort.